Au niveau professionnel, on a perdu quelque chose d’essentiel : les contacts informels. Je suis professeur de physique théorique à l’ULB et lors des colloques, qui ne se font plus qu’en virtuel, nous avons perdu de grand moments d’échanges avec mes confrères. Des conversations qui avaient lieux entre les présentations de chacun qui aboutissaient souvent sur de nouvelles idées, des pistes pour l’avenir de nos recherches.
Jean-Marc, 69 ans